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Un diamant de 11 carats mis aux enchères samedi à la salle des ventes de Troyes : du jamais vu !
 
Le 22-01-2016
de SOJH® - News des expositions

Un diamant de 11 carats monté en bague (mise à prix 40 à 50 000 €) ou de rares montres Patek Philippe gousset (3 000 à 3 500 €) ou bracelet. C’est samedi à Troyes.

La vente programmée samedi réserve quelques belles surprises avec le plus gros diamant jamais mis en vente à l’hôtel de Troyes.

Il s’agit d’une bague en or gris 18K, ornée au centre d’un diamant coussin de taille ancienne pesant 11,06 carats ! Dûment certifiée par un expert du cabinet parisien Serret-Portier, elle est mise à prix 40 000 à 50 000 €.

Naturellement, elle restera au coffre et ne sera pas exposée.

Il faut noter aussi de superbes braclets Art déco. Notamment ce bracelet en or gris 18K et platine, à motifs géométriques et incrustations de diamants proposé à 5 000 à 6 000€.

Ou parmi un ensemble de montres de marque, ces rares pièces de la maison Patek Philippe, petits bijoux de l’horlogerie suisse. Comme cette montre de poche en or jaune 18 K numérotée, estimée 3 300€ à 3 500€ ou cette montre-bracelet de même marque en or, à mouvement mécanique (estimée 2 500 € à 3 000 €).

Du côté des objets d’art, un lot à noter. De Jean-Auguste Barre, Fanny Elssler dansant la Cachucha du ballet Le Diable Boiteux. Un bronze patiné signé et daté 1837, réalisé pour marquer le triomphe, en 1836, de la danseuse autrichienne, dans ce premier rôle du ballet de Coralli.

Des enchères en ligne

Savez-vous que depuis que l’hôtel des ventes de Troyes a rallié Interenchères, Internet fournit 25 % des acheteurs ? Ou qu’à chaque vente désormais, ce sont de 150 à 300 internautes qui suivent les enchères et enchérissent ? L’activité de l’hôtel des Ventes connaît une véritable révolution à laquelle Pierre-Léonard Pomez n’est pas étranger. Il a été chargé par le Groupe Ivoire de refondre le site internet commun aux onze maisons françaises maintenant associées : Toulouse vient de rejoindre Ivoire…

« Grâce au live, ce sont maintenant 80 % des lots mis aux enchères qui trouvent preneurs », reprend Thierry Pomez.

Entré dans la maison Pomez & Boisseau, l’année passée, Pierre-Léonard Pomez est également à l’affût des tendances nouvelles. Il compte développer encore le secteur vintage et design qui correspond aujourd’hui à une demande nettement affirmée.

lest-eclair.fr

 



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